L’auteur

C’est à la toute fin des années 90 que mon premier livre a été publié. D’errances géographiques en balancements professionnels, j’ai suivi auparavant un drôle de parcours, me cherchant longtemps, avant de comprendre que j’aimais me laisser absorber tout entière par les histoires qui prenaient corps en mon imaginaire.
L’acte d’écrire est pour moi une mise en abîme et c’est véritablement cela qui m’inspire. Ce défi auquel je me confronte chaque jour, cette imposture que j’accole à mes personnages, cette fuite en avant, hors d’une réalité ordinaire.

Et puis il y a le fait de maîtriser pleinement une mise en scène, de se projeter dans d’autres univers, d’expérimenter une multiplicité d’aventures dans l’idée qu’elles prendront au cœur d’éventuels lecteurs.

En me perdant dans les entrelacs de l’écriture, j’ai vraiment le sentiment d’exister. Et l’essentiel est là, je crois: construire mon présent au fil de mes écrits…
Maintenant, pour celles et ceux qui souhaiteraient en connaître un peu plus à mon propos, il est un questionnaire auquel je me suis amusée à répondre; celui de Proust.
Ainsi donc:

Ma vertu préférée: la discrétion
La qualité que je préfère chez un homme: force de caractère… et sensibilité
La qualité que je préfère chez une femme: la persévérance, la franchise
Mon principal défaut: l’impatience
Mon occupation préférée: lire, voyager
Mon rêve de bonheur: ne plus être dans la peur de l’Autre
Quel serait mon plus grand malheur: de ne pas avoir donné de sens à ma vie
Ce que je voudrais être: un battement d’ailes, imperceptible
Le lieu où je désirerais vivre: une campagne dans la ville
La couleur que je préfère: le bleu profond
La fleur que j’aimerais être: un lys
L’oiseau que je préfère: l’aigle royal
Mes auteurs favoris en prose: j’en ai beaucoup et comme je suis très éclectique en matière de lecture… Mais les deux écrivains qui m’ont révélée à la littérature sont Kafka et Sartre
Mon poète favori: incontestablement Baudelaire
Mon héros de fiction: Hamlet… ou Arsène Lupin
Mon héroïne de fiction: une de ces femmes fortes et libres qui se dévoilent de temps à autre en littérature
Ce que je déteste par-dessus tout: la bêtise… ou l’hypocrisie, mon cœur balance
Mon mot favori: peccamineux
Ma plus grande fortune: l’obstination
Le don de la nature que je voudrais avoir: le don d’ubiquité
Ma mort: un rêve sans fin
Ma devise: qui ne tente rien n’a rien

 

Vous pouvez retrouver l’intégralité des chroniques/critiques suivantes dans la rubrique des livres correspondant. Mais en avant-goût, à propos de mes textes, il a été dit :

« Tout le talent de Chloé Dubreuil […] est d’avoir « calé » sa narration et son style sur le rythme et l’ambiance de l’histoire. Un style d’un grand classicisme, parfois volontairement un peu austère, un vocabulaire émaillé de mots et d’expressions anciennes (sans que cela tourne jamais au procédé) : c’est un plaisir de lire un texte d’une telle qualité littéraire. »
Le tourne page (Le faiseur de diables)

« J’ai vraiment aimé cette histoire. Elle m’a tenue en haleine jusqu’à la fin. Impossible pour moi de refermer ce livre avant de savoir. De plus, j’ai plongé avec délice dans le monde de ce peintre particulier. J’ai adoré. »
Promenades culturelles2 (Le faiseur de diables)

« J’aime beaucoup les dystopies et je peux vous assurer que celle-ci ne laisse pas indifférent ! Âmes sensibles s’abstenir ! Je ne regrette qu’une chose : en avoir déjà fini la lecture ! »
Promenades culturelles2 (Les limbes d’Icare)

« Un livre que je recommande absolument. Alliant le travail d’un chercheur aux talents d’un littéraire, Chloé Dubreuil répond par un tour de force qui ne manquera pas de déstabiliser plus d’un lecteur. »
Mélanie Courtemanche-Dancause, collaboratrice à l’Incorrect (Moi, Eva Braun)

« J’adore le style d’écriture de l’auteur qui m’emporte avec délices dans l’histoire. […] Un petit bijou d’histoire ! »
Le boudoir du livre (L’Insoumise)

« Très belle découverte pour ce roman ! […] Chloé DUBREUIL décrit tellement bien cette époque. On se rend compte qu’il y a un énorme travail  fourni et ce n’est qu’un bonheur à lire. […] J’ai beaucoup aimé suivre Maeve, c’est une femme très attachante. […] l’auteure rend fluide le récit et les évènements. Il y a aussi du suspens jusqu’à la fin ! Et j’ai adoré la fin, c’est ce que j’attendais.
Hellobook (L’Insoumise)

« Gros coup de cœur pour ce livre. […] Une lecture fascinante, très instructive, très troublante… Au point que le lecteur a l’impression de lire le journal intime d’Eva Braun écrit de sa main.
L
e boudoir des livres (Moi, Eva Braun)

« J’ai aimé la façon dont Chloé Dubreuil nous présente les choses. Se mettre dans la peau d’Eva Braun n’a pas dû être évident. Je suis toujours friande des autobiographies romancées qui nous font entrer ainsi dans la vie de ces personnalités beaucoup plus facilement qu’un livre d’Histoire. Et, bien que le personnage soit rebutant au premier abord, j’ai dévoré ce roman ! »
Promenades culturelles2 (Moi, Eva Braun…)

« Je suis profondément admirative de l’écriture de Chloé Dubreuil. […] Sa plume est alerte, on a toujours envie de savoir ce qu’il y aura sur l’autre page. En voyant l’heure tourner, je me disais à chaque fois : « Encore un peu ! », redoutant le moment où il faudrait laisser Maeve vaquer à ses occupations pour retourner moi-même à mon quotidien. »
Promenades culturelles2 (L’Insoumise)

« Un livre étonnant, où la guerre est indirectement présente, lointaine. Où la réalité du régime nazi s’estompe derrière un quotidien privé souvent banal. Où, comme l’écrit François Delpla : « Pour rendre justice à ce travail littéraire, la critique devra surmonter un réflexe pavlovien, qui depuis 1945 incite à réprouver, en tout effort pour comprendre les nazis, une tentative d’humaniser le mal ».
Guerres et conflits (Moi, Eva Braun…)

« J’ai lu ce livre sans m’arrêter, ou à peine. On peut dire que Chloé Dubreuil sait ménager le suspense. On souffre avec la famille adoptive, avec Zahra. On veut savoir nous aussi, coûte que coûte. Je ne m’attendais pas du tout à ce dénouement, qui m’a laissé un sentiment de malaise car, sans rien dévoiler, on peut dire qu’il est peu conventionnel (ouf, heureusement !), que ce soit dans la vie réelle ou dans les habitudes que nous avons lorsque nous lisons un roman de ce type. »
Promenades culturelles2 (Tue-moi)

« Attention Pépite ! Et je vous assure que je pèse mes mots ! J’ai été littéralement happée par le vortex stylistique de Chloé Dubreuil qui n’a pas son pareil pour nous faire vivre des épisodes historiques ou pseudo-historiques. Âmes sensibles, vous allez vous endurcir ! Sur certains points, le monde médiéval est âpre. […] Mais pour compenser toute cette violence, on a aussi de beaux moments. L’instant où Asseline « devient femme » est d’une splendeur ! Bref, on tourne les pages fébrilement, on a hâte de savoir ce qui va se passer… L’atmosphère ésotérique vous prend et ne vous lâche plus ! […] Et ce final ! Éblouissant ! […] Bon, je pense que vous l’aurez compris, j’ai adoré ce texte qui ne ressemble à aucun autre.  »
Promenades culturelles2 (L’Esprit du Graal)

« Passionnant. […] L’écriture est si fluide que l’on se régale de tourner les pages. […] Elle a su fondre les événements historiques dans son texte, tant et si bien que, sans la précision au début de l’ouvrage, nous ne reconnaîtrions pas les personnages réels des fictifs. Et c’est toujours le point d’achoppement, à mon sens, déterminant la réussite… »
Blog de lydia (Fortunae)

« … Chloé Dubreuil a fait un immense travail de recherche pour écrire Fortunae. […] La minutie des détails est fantastique. A l’aide d’un vocabulaire riche, presque technique, Chloé Dubreuil s’est attachée à reconstituer un univers qui projette le lecteur deux mille ans en arrière… »
Akarinthi.com (Fortunae)

‘… La particularité de Yéshoua est de conjuguer avec naturel le simple et le sacré, un sacré d’ascèse, tellurique, un sacré du grain et du sarment, de désert et de sel, d’eau vive et de mer Morte…’
magazine Points de vue (Yéshoua – Au nom du Fils)

‘… Lorsque l’on en entame la lecture, on ne lâche plus le texte. Un véritable petit bijou et je ne mâche pas mes mots…’
Les agents litteraires (Yéshoua Au nom du Fils)

‘…Yéshoua, au nom du Fils ne séduira peut-être pas les croyants en quête d’une certaine orthodoxie. Mais, reposant sur des recherches solides, il offre un regard neuf et profond sur la genèse de cette grande religion dont plusieurs milliards de personnes se revendiquent encore en 2012…’
Roman-historique.fr (Yéshoua Au nom du Fils)

‘… Pas de leçon dans ces nouvelles, mais une belle écriture analytique et souple pour un état des lieux de la douleur et de l’espérance…’
Livre et Lire (Le sourire de l’iguane)

‘…Un mystère alchimique, le secret des Tarots dits de Mantegna, et un retour romanesque aux sources de l’humanisme…’
Livre et Lire (Le temps d’Uranie)

« … Une belle précision stylistique. […]
Une montée en puissance de l’émotion… »
Le Figaro Lyon (Le goût des choses)

« … Une progression inéluctable… »
Le Progrès (Le goût des choses)

« … Une plume qui manie la prose avec justesse, pudeur et singularité… »
Arenciel (Le goût des choses)

« … Un air de Carpe Diem flotte dans ces pages […] Vous risquez d’être étonnés par vos découvertes…’
La Factory.com (Le goût des choses)

‘Un récit qui fait penser à ceux d’Emmanuel Bove, avec cette torpeur poisseuse et opaque qui les caractérise. »
Livre et Lire (Le goût des choses)